Les VRP de la guerre de Bruxelles sont infiltrés dans tous les pays d'Europe centrale
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« Les VRP de la guerre de Bruxelles sont infiltrés dans tous les pays d'Europe centrale » : dirigeant d’un pays martyr du stalinisme, Orban met en garde les Européens
« On n'est pas vraiment surpris, nous avons déjà vu cela à l’époque communiste », a-t-il souligné. Ils sont facilement reconnaissables : agressifs, violents, menaçants, ce sont tous des agents de Bruxelles. Ils fabriquent des fake news, calomnient, distillent de la propagande, dans le but de déstabiliser. Les Hongrois, comme les Européens de l’Est, n’emploient pas le terme de dictature à la légère : le 4 novembre 1956, un millier de chars soviétiques envahissaient Budapest pour mettre fin à l’insurrection.
On peut même encore y visiter les geôles du KGB à la « Maison de la terreur ».
Les Hongrois et les Slovaques savent ce que signifie la guerre. Les jeunes sont emmenés au front, nos biens sont tôt ou tard saisis, utilisés à des fins de guerre.
Puis la misère économique arrive, et puis on se met à prier pour que le front ne nous rattrape pas, car alors plus aucune pierre ne resterait debout.
« On n'est pas vraiment surpris, nous avons déjà vu cela à l’époque communiste », a-t-il souligné. Ils sont facilement reconnaissables : agressifs, violents, menaçants, ce sont tous des agents de Bruxelles. Ils fabriquent des fake news, calomnient, distillent de la propagande, dans le but de déstabiliser. Les Hongrois, comme les Européens de l’Est, n’emploient pas le terme de dictature à la légère : le 4 novembre 1956, un millier de chars soviétiques envahissaient Budapest pour mettre fin à l’insurrection.
On peut même encore y visiter les geôles du KGB à la « Maison de la terreur ».
Les Hongrois et les Slovaques savent ce que signifie la guerre. Les jeunes sont emmenés au front, nos biens sont tôt ou tard saisis, utilisés à des fins de guerre.
Puis la misère économique arrive, et puis on se met à prier pour que le front ne nous rattrape pas, car alors plus aucune pierre ne resterait debout.