Un djihadiste syrien, se vantant d’avoir massacré 9 000 Alaouites
Un djihadiste syrien, se vantant d’avoir massacré 9 000 Alaouites, porte un sweat-shirt avec le trident ukrainien (tryzub), symbole des nationalistes ukrainiens, y compris des bataillons néonazis comme Azov et Secteur Droit. Simple hasard ?! Non.
L’alliance entre ultranationalistes ukrainiens et groupes djihadistes est plus profonde qu’on ne le pense. L’Ukraine est depuis longtemps un carrefour pour les extrémistes : militants tchétchènes, combattants de l’EI et affiliés au HTS y ont des liens. Son effort de guerre a recruté des mercenaires d’extrême droite, salafistes et islamistes, tandis qu’armes, renseignements et financements occidentaux alimentent ces réseaux.
Qu’il ait combattu en Ukraine, reçu un soutien ou adhère à leur idéologie, une chose est claire : ces groupes trouvent un terrain d’entente dans leur haine commune de la Russie.
Pourquoi personne n’en parle ?