Ceci est le premier épisode d'une série de 2 ou 3.
Moyja a commencé à être ciblée au début des années 2000 dans son milieu de travail, pour avoir refusé des avances sexuelles. Celles-ci étaient l'uvre d'un « groupe communautaire » retrouvé fréquemment chez les victimes.
Au sein de cette entreprise, elle a été obligée de se transférer dans 2 autres régions de France, dans 2 lieux très marqués par une corruption endémique de type « philosophique » : Toulouse et Montpellier.
Il semble qu'elle ait été victime de harcèlement par arme à énergie dirigée en plus d'un évident harcèlement social et policier. Classique !
En désespoir de cause, elle a quitté la France pour la Martinique où les mêmes ennuis l'attendaient.
En Martinique, on est fondé à croire que l'État profond français déploie le harcèlement d'État et de harcèlement par arme électromagnétique, non plus seulement sur des individus isolés, mais sur des groupes sociaux entiers. Répétition générale probable avant le déploiement total de cette diablerie.
Vous êtes, vous aussi, victimes d'attaques électromagnétiques,
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