Les médicaments réutilisés comme l’Ivermectine, le Fenbendazole et le Mébendazole sont à la tête de la révolution du traitement du cancer… dans le monde entier Le cancer guéri, pas grâce à la médecine, grâce à un vermifuge vétérinaire. Joe Tippens, condamné : cancer du poumon à petites cellules, métastasé partout, cou, foie, pancréas, os. Espérance de vie moins de 1 %. Ils t’envoient chez toi mourir, bien sagement, mais Joe n’a pas obéi. Et ce n’est pas la médecine humaine qui l’a sauvé. C’est une chercheuse chez Merck, côté vétérinaire. Ses souris, gavées de cellules cancéreuses, tombent malades à cause de parasites intestinaux. Elle leur donne du Fenbendazole, vermifuge classique pour animaux. Les parasites disparaissent, mais surtout, les tumeurs aussi, pas une, toutes. Joe entend l’histoire. Le lendemain, il commence à en prendre. Trois mois et demi plus tard : plus aucune trace de cancer, pas une rémission, une guérison. Le protocole “interdit” : simple, mais surtout non brevetable : Fenbendazole (222 mg) tue plus que des vers, il réveille les mitochondries, freine la division cellulaire incontrôlée, pousse les cellules cancéreuses à l’apoptose. Vitamine E (800 UI) antioxydant maître, protecteur de la membrane cellulaire. Curcumin (600 mg) bloque NF-κB, module l’inflammation, nettoie. CBD (25 mg) reconnecte le système endocannabinoïde, régule la prolifération, calme l’orage. Berbérine + Quercétine, tue la faim du cancer (glucose), stoppe l’angiogenèse, protège les cellules saines. Laissé à votre discernement… Source : https://vk.com/wall584015149_365811