Les suites de la plandémie COVID et de ses injections mortelles
Véran en 2021 : « AstraZeneca est un vaccin qui est très efficace, et qui est sûr », assurait en 2021 le chargé local de l’opération COVID, Olivier Véran.
AstraZeneca contraint d’admettre que ses produits sont mortels
Après 3 ans de procédures entamées par les victimes, AstraZeneca a été contraint d'admettre que son « vaccin » COVID peut provoquer des thromboses.
Pas un scoop, mais c’est la première fois que Big Pharma est acculé en justice.
« Il a fallu trois ans pour qu’ils l’admettent. C'est un progrès, mais nous aimerions en voir plus de la part d'eux et du gouvernement. Il est temps que les choses aillent plus vite », a déploré une des victimes.
Malcolm Roberts, sénateur australien de l’État du Queensland, jure de « traquer et livrer les coupables ». « Cela a été coordonné au niveau mondial et planifié sur des décennies. Les gens se réveillent. Nous savions que tout cela n'était que des conneries et que nous nous sommes fait avoir. Il est devenu évident que les citoyens de ce pays et du monde entier ont été écrasés que cela a été coordonné au niveau mondial. Nous allons vous traquer et vous demander des comptes. Et nous dévoilerons votre programme mondialiste afin que le peuple australien puisse être libre. »